Heureux comme un académicien français à Gournay
L’Abbé y menait une vie heureuse et même voluptueuse en tout bien et en tout honneur ; il y recevait des femmes aimables et de bonne compagnie, dont il était le complaisant, et qui, dans sa vieillesse, voulurent bien être les siennes. A mon avis, sa façon de vivre était digne d’envie.
René-Louis Marquis d’Argenson