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7 Comments

  1. INAUGURATION DU CASTEL MIGNON LE 13 JUILLET 1926 – Société Historique de Noisy-le-grand, Gournay-sur-Marne, Champs-sur-Marne
    17 avril 2025 @ 10h49

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  2. BOIVIN
    29 septembre 2025 @ 22h12

    Voila un tres bon article, tres documenté, qui nous permet de constater comment, au fil du temps, malgré les transformations, un espace conserve certaines de ses fonctions. Vous ne l’avez pas totalement constaté, mais non seulement la Petite Chaumiere a été un modele pour les cabarets travestis suivant, mais l’établissement aura aussi permi aux travestis et autres jeunes hommes qui exercaient le commerce sexuel dans la rue de trouver un lieu plus sur, et d’exercer un travail moins dangereux, en travaillant dans les spectacles de l’etablissement, ou devenant « entraineurs ». Il est étonnant de voir alors Villa Marie, apres etre transformée en une sorte d’auberge de luxe, ou la discrétion et la tranquillité étaient assurées pour les clients, devenir une auberge de jeunesse et de formation de moniteurs-entraineurs sportifs. Et en revient alors aux début, ou le meme espace était habité par des abbés, eux-aussi, célibataires, bien que pas nécessairement homosexuels, dont certaines fonctions étaient aussi liées a l’éducation des plus jeunes et la transmission de valeurs des plus jeunes. Merci encore pour ce travail de réflexion.

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  3. Françoise Audouin
    8 novembre 2025 @ 22h31

    Bonjour, je m’appelle Françoise Audouin et, suis heureuse d’avoir pris connaissance de l’histoire effectivement peu banale de la Villa Marie en lisant votre article qui semble exhaustif, à part un gros oubli: il n’y est pas fait mention de ma famille, qui y vécut de façon continue entre 1958 et 1982. Nous fûmes donc ceux qui en firent l’occupation la plus longue au cours du vingtième siècle, plus que les familles bourgeoises, les proxénètes et les prostitué(e)s, les soldats nazis et les orphelins juifs…
    À l’époque les familles d’instituteurs et d’institutrices étaient logés par la municipalité, maman enseignait à l’Ecole des Pâquerettes, et comme il n’y avait pas de place dans le bâtiment qui hébergeait les enseignants, nous eûmes la chance de grandir dans le décor gothique et bucolique de la Villa Marie.
    La Villa Marie fut ma maison entre 3 et 18 ans, elle fut celle de mes parents et de mes cinq frères et sœurs. Nous y passâmes notre enfance et notre adolescence. Le fait de ne pas inclure ma famille dans son histoire n’a en soi pas grande importance, mais me fait me poser la question: pourquoi?
    Il est bien connu que ce sont souvent les vainqueurs qui écrivent et racontent l’Histoire. En ce qui concerne celle de la Villa Marie, pleine de paradoxes et de rebondissements, il n’y a plus ni vainqueurs ni vaincus, seulement une famille passée sous silence dont je me demande si elle absorba des effluves de toutes ces vies hors normes qui la traversèrent …

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    • Claude SCHWARTZ
      9 novembre 2025 @ 13h08

      Bonjour Madame, je comprends votre frustration de ne pas voir cités les noms des personnes qui vous sont chers. Nous ne souhaitions pas faire le recensement des habitants de la Villa Marie qui ont eu la chance d’y vivre après la municipalisation de l’immeuble, ce n’est pas l’usage dans une monographie historique. Néanmoins je vous remercie pour votre émouvant témoignage. Claude Schwartz

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  4. Françoise Audouin
    13 novembre 2025 @ 15h37

    Monsieur Schwartz,
    Je vous remercie de votre réponse. Je ne souhaitais pas voir mentionné le nom de ma famille dans cette monographie historique. En revanche – et c’est pour cela que j’évoquais, de façon exagérée, les vaincus de l’Histoire, dans ce cas il s’agirait plutôt des oubliés de l’Histoire – il me semble que, de la même façon que l’article évoque « Dans les années 80-90-00 des logements majoritairement d’enseignants « , il devrait, à des fins de véracité historique, faire mention de l’occupation de la Villa Marie par une famille d’enseignante, de 1958 à 1982. Cela par ailleurs comblerait le vide qui existe entre l’Oeuvre de secours aux enfants, de l’Après-guerre, et l’installation du réfectoire…
    Ceci dit, je suis vraiment heureuse de connaître l’histoire de « ma Villa Marie », et vous remercie, ainsi que vos collaborateurs, pour ce travail de recherche historique,
    Amicalement,
    Françoise Audouin

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  5. Françoise Audouin
    13 novembre 2025 @ 16h18

    Bonjour monsieur Schwartz,
    Je vous remercie de votre réponse. Je ne souhaitais pas voir mentionné le nom de ma famille dans cette monographie historique. En revanche – et c’est pour cela que j’évoquais, de façon exagérée, les vaincus de l’Histoire, dans ce cas il s’agirait plutôt des oubliés de l’Histoire – il me semble que, de la même façon que l’article évoque « Dans les années 80-90-00 des logements majoritairement d’enseignants », il devrait, à des fins de véracité historique, faire mention de l’occupation de la Villa Marie par une famille d’enseignante, de 1958 à 1982. Cela par ailleurs comblerait le vide qui existe entre l’Oeuvre de secours aux enfants, datant de l’Après-guerre, et l’installation du réfectoire…
    Ceci dit, je suis vraiment heureuse de connaître l’histoire de “ma Villa Marie”, et vous remercie, ainsi que vos collaborateurs, pour ce travail de recherche historique.
    Amicalement,
    Françoise Audouin

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    • Françoise Audouin
      13 novembre 2025 @ 16h21

      Je vois, et m’en excuse, que ma réponse, que je pensais n’avoir pas pu envoyer et ai donc re-écrite, a été envoyée deux fois…

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